LUTHERIE AMATEUR

Cormier?
Alisier?

Les huiles dures polymérisent avec la cellulose, c'est pour cela qu'il faut plonger les chiffons qui ont servit à le mettre dans de l'eau, car sinon la polymérisation peut amener à une montée en température et à un départ de feu.

Oui poirier en premier, prunier parfois, et un peu n'importe quoi dans les moments de crises économiques

ça jette!

Au pinceau ça fait des couches épaisses qui deviennent difficiles à égaliser, non?

Ce que tu appelle un vernis à l'alcool c'est de la gomme laque?

Pour les instruments du quatuor ce sont des vernis type huile de lin, térébenthine +/- siccatif (en général c'est l'huile de lin ultrarafinée et transformée qui fait le boulot) agrémenté de divers ingrédient et colorés. On peux en trouver du tout fait chez emma music ou chez dictum.

Éventuellement une huile dure genre rubio, danish oil, etc....une finition que tu peux raviver facilement avec un chiffon et un peu d'huile, mais un vernis lui ne se rénove pas comme ça, en plus c'est une zone d'usure rapide une touche. Personnellement je me contente de polir la touche, en ébène ou ...

Super, comme ça tu peux entendre le gazouillis du circuit

Un américain avec un humour très anglais. Une belle démonstration par l'absurde, rafraîchissant, merci fidler!

Pareil, j'ai une règle à béton (un tronçon bien plan) avec du papier de verre pour la planif et des cales à radius pour le radius, certaines achetées et d'autre faites à la maison.

J'ai du aller aux 2 en fait, car je me rappelle l'usine de Montreuil face au siège qui lui était de l'autre coté de la rue, à Vincennes.
Bon c’était à la fin des années 80, donc j'ai le droit de me mélanger les pinceaux.

C'est bien l'usine de Montreuil que j'avais visité, du coté de la rue de Paris, pas très loin du periph.

Oui Bagnolet (c'est pas très loin de Montreuil aussi).

Moi je frette après, mais on peux le faire avant, de toute manière le frettage donne une courbe légère au manche, que l'on combattra avec un poil de contre tension sur le truss, pour pouvoir faire la planeification.

C'est moi qui ai cité cette marque, juste parce que ce sont les affleureuses les plus courantes et abordables.

Dans les années 80 j'ai visité l’arrière cour chez les fils de georges avec l’énorme dérouleuse à placage qui était capable de prendre un tronc complet d'acajou de 15metres de long pour le dérouler, impressionnant. C’était à Montreuil dans mon souvenir.

Il nous reste le cochon, le mouton ou tout autre êtres entre 45kg et 1 tonne.

Bravo

Par contre coté toxicité, le silicone est bien plus sur que tous les autres lubrifiants. Mais il est à éviter absolument sur le bois car il empêche tous collage et toute finition.