
pour les poussière, un bon coup de balais, tu vaporise de la flotte au petard, et c'est tout bon.
Ben écoute... Je n'ai certainement pas autant d'expérience que toi, mais je me suis quand même rendu compte au fur et à mesure des projets que peindre dans un air relativement chaud (admettons 25°) permet au verni de prendre bien plus vite et donc de limiter le risque de coulures, que quand il faut 15° ; en ça une cabine chauffée aidera certainement à limiter les risques de coulure :wink: . Mais pour celle ci il y a encore des chances que je passe par l'étape "extérieur par temps humide"...6ri.l a écrit :la cabine n'évitera pas les coulures
Au pistolet, je ne rencontre pas spécialement de problème de coulure à température correcte, ni quand je travaillais à la bombe d'ailleurs que je n'ai utilisé que très rarement pour le verni (pour la teinte par contre, c'est encore une solution sympa). Par contre inseks / poussières et consorts argh... En gros comme je le disais plus tot, la cabine présente l'avantage d'optimiser certaines conditions favorables à un travail plus propre tout en éliminant les facteurs qui compliquent la finition, qui est loin de me passionner, même si je dois avouer que c'est justement à cause des insectes et poussières :pac:6ri.l a écrit :bref, il faut avant tout bosser le coup de main, et comprendre comment réagi le vernis.
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Quand comme moi tu auras traversé l'enfer des étendues de craquelures akozséproduichimicopacopins et autres plaines de vernikajonihonsépatropourkwa avec de longues semaines de bagne à frotter des boudwasmalvernis, eh ben l'aventure hein... Moi j'appelle ça du masochisme6ri.l a écrit :t'es pas un aventurier?