
Je joue quasiment toujours sans ampli, et on m'a dit qu'une basse qui sonne bien sans ampli sonne bien avec (du moment qu'on a pas un grille pain en guise de micro).
Et quand je parle de l'élaboration d'une basse, je serais plus prêt à me la faire faire quitte à ce que ça coûte pas mal (je suis pas pressé, je peux économiser 10 ans pour ça) mais en m'assurant que le mec soit un pro (feu Jacobacci faisait excellentes basses sur mesure dont se sont servis Jannick top et Bernard Paganotti). Donc niveau finition, ça ne doit pas être le soucis. C'est pour cela que je me permets des folies : on prend le parti qu'il n'y a pas de pépins en cours de création.
low-tide, je te remercie de formuler exactement ce qui m'avais choqué et de redorer le blason du saint sustain !
Petite question, un single cut ça inclut le manche ? Si oui, comment on fait pour le régler alors ?
Ce à quoi je pensais avec le combo gros manche prolongé en fretless avec le tout single cut remontant est que la basse ferait vraiment un tout cohérent et non pas deux parties distinctes, ce qui ferait que le son se propage librement sans rencontrer de perturbations dûs aux changement de propriétés de milieux. Si en plus on prend un bois vraiment bon, bien riche, cohérent et parfaitement adapté, on peut obtenir un environnement acoustique permettant un son bien profond !
Quand je compare le son un peu léger de ma non moins légère SR600 et le son profond de la plus lourde basse 5 cordes de mon prof, il n'y a pas photo. Donc voilà si on prend la bûche transcendantale de l'acoustique absolue en guise de basse, ça risque d'être lourd mais aussi d'avoir un son tellement profond qu'il n'y aurait même pas besoin d'ampli pour percevoir certaines subtilités du son.